Protéger - Défendre - Agir

Chat libre Issois est une association loi 1901 à but non lucratif de protection et de défense des chats située à Is-sur-Tille (21120). L'association à été fondée le 25 novembre 2019 par Mr Noel Emmanuel président du chat libre Issois. L' association est reconnue d'intérêt générale !

Protection des animaux et de l'environnement.

Forme juridique : Association déclarée

Registre National des Associations : RNA W212013207

Publication au Journal Officiel : N° 049/275

INSEE - N° SIRET : 880.297.890.00019

Code APE / NAF

9609Z

Site internet

Emmanuel Noel, président.

Chat libre Issois, c'est aussi...

Bénévoles

Adhérents

Membres du bureau

Nous venons actuellement en aide et au sauvetage de nombreux chatons âgé de 15 jours à 2 mois ! Certains chatons ont besoin de soins vétérinaires, de soins chirurgicaux, nous avons besoin également de nous fournir de biberons, lait maternisé, de croquette chaton et de nourriture humide ! Pour aider nos chatons faites nous un don.....merci pour eux !!!

Devenez adhérent !

Ensemble pour agir en faveur de notre association ! Association chat libre Issois, protection et défense des chats compte sur vous pour développer ses actions. Nous vous invitons ici à adhérer. Quel que soit votre niveau d'engagement vous ferez, aux côtés des autres membres de notre association, la force du chat libre Issois et contribuerez à sa représentativité.

Je deviens adhérent

Faites un don !

Pour que toutes nos actions puissent se réaliser, votre générosité nous est essentielle. C'est grâce à vous, et à vos dons, que " Chat libre Issois " est en mesure d'apporter la protection et la défense des chats d'aujourd'hui et de demain !

Réduction fiscal !

Je fais un don

Don par chèque libellé à chat libre Issois, vous souhaitez recevoir un reçu fiscal....merci de nous l'indiquer sur papier libre dans l'enveloppe !

Pour les dons en ligne CB, les reçus fiscaux sont envoyés automatiquement par mail chatlibreissois@sfr.fr !

Vous n'avez pas d'imprimante nous contacter !

Actualités

Mort du chat Jocker : deux plaintes déposées

À la suite de la mort de son chat Jocker, gravement blessé par des tirs de plombs et finalement euthanasié, Julie * a décidé de porter plainte, tout comme l’association du Chat libre issois.

Si la propriétaire du chat a porté plainte, Emmanuel Noel, président du Chat libre issois, l’a également fait au nom de l’association. Jocker a dû être euthanasié après avoir reçu du plomb dans la cuisse et dans la colonne vertébrale.

« Jocker avait 6 ans », confie Julie *. Samedi 30 mai, son mari l’appelle. Son chat a le train arrière complètement paralysé. « J’allais faire mes courses. Dès qu’il m’a appelée, j’ai tout de suite contacté le vétérinaire d’Is-sur-Tille. » Comme l’animal ne saigne pas, Julie pense encore pouvoir le sauver. « Mais non, Jocker avait reçu deux impacts de plomb : un dans la cuisse et un autre dans la colonne vertébrale. » Il est donc condamné et doit être euthanasié. « C’est tragique, car il n’avait rien demandé. » Elle, qui habite depuis six ans à Salives, n’avait jamais vécu cela auparavant. « Nous avons deux autres chats, Diana et Luigi, cela s’est toujours bien passé. Dans notre lotissement, près d’un tiers des habitants a des chats, nous n’avons jamais entendu parler de faits similaires. »

« Un acte de cruauté »

Conseillée, elle contacte l’association du Chat libre issois à Is-sur-Tille. « C’est un acte de cruauté, criminel même », explique Emmanuel Noel, président de l’association, créée en novembre. « Nous ne pouvons pas laisser passer ça. Ces actes sont fréquents, mais généralement, les personnes ne vont pas au bout de leurs démarches. » Julie a décidé de marquer le coup. Le 2 juin, elle porte plainte à la gendarmerie d’Is-sur-Tille, tout comme l’association du Chat libre issois, représentée par Emmanuel Noel. « Nous nous porterons partie civile en cas de poursuite judiciaire si jamais le coupable est retrouvé. J’espère qu’il y aura des suites et que ça ira plus loin. »

Le président de l’association rappelle d’ailleurs les peines encourues pour un tel acte : « Les personnes risquent jusqu’à 30 000 € d’amende et deux ans de prison ». Une enquête est en cours. « Nous avons déjà des suspicions sur les auteurs de ce drame », ajoute Julie. Avant de conclure : « Je veux faire prendre conscience aux gens de ce qui se passe ».